L’Union européenne et la Thaïlande vont reprendre les négociations sur un accord de libre-échange.

Européenne : L’Union européenne souhaite reprendre les négociations commerciales avec la Thaïlande pour un accord de libre-échange (FTA). C’est ce qu’a déclaré le Conseil de l’Union européenne après avoir suspendu les négociations commerciales après le coup militaire de 2014.

En mars, la Thaïlande a tenu des élections générales au cours desquelles des coalitions favorables à l’armée ont formé le gouvernement mettant officiellement fin au régime militaire de cinq ans. Le Conseil pense qu’il est, à présent, approprié pour l’Union européenne de se concentrer sur l’élargissement de son engagement en Thaïlande.

Les efforts de cet engagement incluent en partie la signature d’un Accord de partenariat et de coopération (APC). L’objectif de l’APC est de resserrer les liens politiques et économiques avec la Thaïlande. Une autre initiative consistera à reprendre les négociations commerciales avec la deuxième économie de l’Asie du Sud.

Le Conseil a également souligné l’importance de la reprise des négociations commerciales sur un accord de libre-échange ambitieux et global.

Selon la Commission européenne, le commerce entre l’Union européenne et la Thaïlande était évalué à près de 38 milliards d’euros (42 milliards de dollars) en 2018.

L’Union européenne est le troisième marché d’exportation de la Thaïlande. La Thaïlande vend des marchandises et des services pour une valeur de 22,9 milliards d’euros.

Après le coup d’État de 2014, lorsque l’armée a renversé un gouvernement civil, l’Union européenne est restée vigilante dans ses relations avec la Thaïlande. L’Union européenne a également suspendu la signature de l’Accord de partenariat et de coopération et le FTA.

En 2017, l’Union européenne a repris les relations politiques avec la Thaïlande.

Les actions européennes ont atteint leur plus haut niveau de deux semaines à la suite des espoirs d’un Brexit harmonieux.

Les actions européennes ont atteint leur plus haut niveau de deux semaines jeudi, alors que les marchés ont réagi favorablement à Michel Bernier – le principal négociateur du Brexit de l’Union européenne. Par conséquent, l’accord entre l’Union européenne et la Grande-Bretagne sur les conditions du Brexit reste possible cette semaine.

L’indice paneuropéen STOXX 600 a progressé de 0,6 % à 07 h 09 GMT, mais certaines banques britanniques ont été les premières à en bénéficier.

Le FTSE 250 (FTMC) – l’indice britannique axé sur la capitalisation moyenne a progressé de 0,8 %, tandis que l’ISEQ de Dublin a progressé de 1,5 %.

Les commentaires de Barnier sur le Brexit ont donné aux investisseurs des nouveaux espoirs sur la conclusion d’un accord avec la Grande-Bretagne pour assurer un Brexit harmonieux le 31 octobre.

Le recruteur Hays Plc a été le principal gagnant de l’indice de référence, qui a augmenté de 5,5 %. La société a enregistré des frais fixes nets au premier trimestre avec des embauches massives aux États-Unis et la Chine compensant la baisse enregistrée au Royaume-Uni.