Les NFTs toujours plus populaires
Alors que les cryptomonnaies décollent depuis pas mal d’années, les NFTs eux sont en train de faire un véritable tsunami sur les marchés, selon un sondage ifop pour Cointribune, 3,5% des Français auraient déjà passé une transaction pour en acquérir.
Les NFTs toujours plus populaires
Alors que le marché de l’art était difficile d’accès pour beaucoup de français qui ne connaissaient ni les pratiques ni les enjeux économiques et fiscaux de tels achats, le marché des NFTs reste lui largement plus ouvert.
Selon un sondage ifop paru dans le site spécialiste des cryptomonnaies, Cointribune, 3,5% des Français auraient déjà acheté des NFTs. Un aspect qui démontre comment en quelques années à peine ces jetons non fongibles ont révolutionné l’accès à l’art, mais aussi aux marchés financiers.
Car c’est un fait outre leur caractère traçable et non fongible, les NFTs restent par définition spéculatifs, et tournés aux centres des enjeux de l’offre et de la demande. Néanmoins leur capacité à produire anonymat et compréhension des enjeux économiques offre des portes d’entrée plus grandes aux Français que sur n’importe quel autre marché.
Vers une suprématie des NFTs ?
Si ce sondage Cointribune démontre d’un effet de mode, les NFTs disposent en eux de beaucoup plus d’arguments quant à leur démocratisation que beaucoup de tendances mort-nées.
En effet les NFTs, restent au cœur d’un blockchain en perpétuelle évolution, mais aussi d’un nouveau marché : celui du métaverse. Monnaie d’échange pour certains, véritable chef-d’œuvre pour d’autres, ces tokens pourraient rapidement devenir des incontournables du web 3.0 et propulser un marché encore cantonné aux vrais amateurs de Tech.
Une ouverture se matérialise donc chose qui pourrait être bénéfique aux artistes NFTs, mais aussi aux traders, aux cryptomonnaies et à la finance made in blockchain. Comme toujours la régulation et l’aspect fiscal dicteront de leur éclosion ou non sur le long terme. Pour l’heure tout semble d’ores et déjà acquis pour ces jetons.
