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Le cours de clôture du CAC 40 proche des 6.000 points

C’était un Cac en hausse qui s’ouvrait lundi. Un Cac en hausse mais qui n’aura cessé de chuter si bien que le cours de clôture du CAC 40 était sur le point de passer en dessous des 6.000 points à la fin de la séance.

Un mauvais début de semaine pour le CAC 40

C’est une semaine qui semblait être partie sous de bons auspices. Après une ouverture à 6.040,91 points, et un pic à 6.058,69 points, la bourse de Paris était prête à espérer. Espérer quoi ? Peut-être franchir les 6.070 points à la clôture, peut-être plus. En tous les cas elle ne s’attendait peut-être pas à ça.

Une chute, brutale. Violente, irrémédiable. Vers les midi le CAC 40 commençait à plonger, à se dérober de son piédestal pour une première fois passer dans le rouge – c’était aux alentours de 13 UTC+1. Une remontée, rapide, envoyait le Cac au-dessus des 6040 points pour peut-être un jour de plus dans le vert.

C’était sans compter une nouvelle baisse et cette fois-ci fatale. 14 points de perdus, une chute de 0,24% et un cours de clôture tout proche de la barre des 6.000 points. Du moins plus proche que celle des 6040 points – son cours d’ouverture.

Le Cac perdait donc pas mal en ce lundi avant d’achever une journée peut-être dans le rouge.

Des valeurs qui se distinguent

 

Bien sûr dans un contexte comme celui-là, tout n’est pas à jeter. En effet nombre de valeurs se distinguent en ce début de semaine. À commencer par Pernod Ricard qui gagne plus de 1,64% dans un volume très intéressant. Airbus aussi gagne (+0,77%) tout comme Capgemini (+1,22%).

Thalès, Kering, LVMH sont autant de groupes qui aujourd’hui triomphent dans un contexte résolument frileux, à l’équilibre. En attendant les accords sino-américains, les investisseurs semblent tendus. Peut-être plus pessimistes qu’il y a encore quelques jours.

Bien sûr certains groupes perdent, et promettent un cours de clôture du CAC 40 dans le rouge. C’est notamment le cas de Renault ou Peugeot qui perdent respectivement 2,96% et 1,20%. Les groupes automobiles français ne gagnent désormais plus sur les marchés boursiers : c’est un fait.

Autant de valeurs qui se contredisent et s’affirment pour un peu plus tirer le CAC 40 entre un équilibre, une baisse, tout à fait relative. Si le cours de clôture de l’indice parisien semblait bel et bien se diriger vers le bas, rien ne dit que les jours qui arrivent seront du même acabit.



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