Le CAC 40 chute avant le week-end
C’est un CAC 40 qui chute d’entrée en ouverture ce vendredi matin. Après avoir ouvert à la hausse le Cac plonge mais peut-être pas pour longtemps, c’est ce que semblait indiquer les dernières tendances.
Le CAC 40 chute en début de séance vendredi
Avec une ouverture en hausse à 6.056,74 points le CAC promettait encore une fois une journée fantastique, pourtant. Quelques minutes après son ouverture l’indice parisien chutait de manière considérable pour tomber au seuil des 6.030 points.
Néanmoins dans un marché très optimiste soutenu par des dividendes records, un contexte international apaisé, et les accords sino-américains en ligne de mire, la Bourse de Paris, commençait vers les 11h UTC +1 à remonter.
Une hausse puis une chute, puise une hausse vers 12h30, à mi-séance qui semblait bien matérialiser la tendance de vendredi. Une tendance résolument mollassonne à midi mais en légère hausse, et c’est peut-être ça qu’il faut retenir.
Ainsi à 12h27 le CAC gagnait 4,61 points pour atteindre les 6.046,16 points pour une hausse de 0,076%. Bien mais pas assez pour indice qui pourrait prétendre à mieux tant le contexte actuel s’y prête.
Des valeurs à la hausse
Si le CAC 40 chute, ou du moins chutait ce matin. Les valeurs font le chassé-croisé. Autant de valeurs à la hausse qu’à la baisse pour une valeur à l’équilibre. Au rayon des gagnants on retrouvera donc Veolia qui prend plus de 2,44%. Une jolie performance comme Atos, deuxième de la journée qui gagne 2,12% pour un volume d’échange plutôt intéressant.
Dassault aussi gagne, 1,41% de pris, tout comme Peugeot ou L’Oréal qui gagne respectivement 0,86% et 0,68%. Néanmoins tous les grands groupes français ne gagnent pas en cette fin de semaine.
Saint-Gobain perd plus de 1,49% quand Carrefour perd 0,89%. Renault qui n’en finit plus de baisser perd encore 0,86%. Un groupe qui a décidément du mal cet an-ci. D’une façon plus rare LVMH perd tout comme Thales ou Kering (quasiment à l’équilibre).
Au final donc c’est un vendredi timide, presque anecdotique qui clôture les marchés. Européens et français du moins. Outre-Atlantique tous les espoirs sont en effet permis. Le Dow Jones est en passe de battre des records comme tous les autres indices.
Si les jours semblent se ressembler d’un côté comme de l’autre de l’océan, n’en reste pas moins une grande similitude : celle de l’optimisme ambiant qui règne. Les investisseurs restent enclins à investir, chose qui donne au marché des allures d’épiphanie.
