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Le Brexit : un impact économique important

Brexit, impact économique : voilà deux termes liés que beaucoup, 10 jours après, semblent déjà avoir oublié. La sortie du Royaume uni de l’Union européenne a semble-t-elle déjà été digérée par certains. Zoom.

Brexit, impact économique, et industries



Le Brexit c’est tout d’abord une question de longue date depuis 2016. Il aura fallu plusieurs années et une insistance conséquente de Boris Johnson dans sa volonté de quitter l’Union européenne pour voir le départ du Royaume-Uni de l’UE.

Et si le ministre britannique lâchait de belles promesses, outre-Manche, côté français, Brexit, impact économique et industries s’érigeaient comme les termes liés d’une interrogation sans précédent.

D’abord les bourses mondiales et surtout européennes ont eu du mal à encaisser le coup. Car si la conjoncture et le coronavirus semblent amplifier les mouvements sur les marchés boursiers, nul doute que les différents indices ont perdu quelques points dans la bataille.

Outre cet aspect c’est l’industrie qui pourrait être impactée. Avec un Royaume-Uni parmi les clients les plus importants de la France (aussi bien comme acheteur que fournisseur) le Brexit pourrait bien jouer sur l’industrie : aéronautique comme automobile.

Dans cette lignée, la majorité des domaines et des secteurs pourraient être les victimes d’impacts économiques conséquents.

 

Un pays moins attractif fiscalement 



Brexit, impact économique et fiscalité, c’est l’autre aspect bien moins mis en avant. En effet le Royaume-Uni restait pour beaucoup très attractif en termes fiscal, et de nombreux investisseurs y résidaient pour des raisons évidentes.

Mais avec sa sortie de l’UE le Brexit va faire du Royaume-Uni de Boris Johnson, une terre largement moins attractive. Si bien que le pays pourrait connaître des manques à gagner sur cet aspect fiscal. Sans compter un chômage qui pourrait bel et bien augmenter au vu d’une certaine récession causée par des échanges complexifiés.

Autant de points qui pénaliseraient le Royaume uni de Boris Johnson et de façon moindre la France d’Emmanuel Macron. Et si pour l’heure les échanges entre Londres et Bruxelles restent tendus, il faudra scruter avec attention les différents impacts économiques sur différents secteurs britanniques.

Quoi qu’il en soit, et c’est le point à retenir, il faudra surtout attendre quelque temps au moins 6 mois pour tirer un premier bilan qui ne serait être que partiel. L’effet Brexit ne pourra être évalué qu’à un an au moins, voire plus. Assez pour Boris Johnson et son parti pour faire les ajustements nécessaires en vue de ne pas tout perdre lors de ce mouvement plutôt « audacieux« .



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