Le bitcoin pour un krach à -5% ce lundi
C’est un lundi 20 septembre 2021 très complexe pour le cours du Bitcoin qui perd plus de 5% ce lundi. La cryptomonnaie n’y arrive plus et se trouve aujourd’hui impactée par la crise survenue sur les marchés.
Le Bitcoin pour un krach
Avec son cours à 45 000 dollars, le Bitcoin n’y arrive plus, la cryptomonnaie perd plus de 5% et pourrait rapidement passer sous cette barrière. Les coins BTC se trouvent tous impactés par la crise des marchés, une crise liée à la chute de la banque chinoise Evergrande.
Dans cette logique on retrouvait de nombreux coins qui perdaient gros ce matin, l’Ethereum lâchait plus de 7,15% quand le Cardano perdait 9,84%. Le Binance Coin perdait 5,84% pour un cours qui passait sous les 400 dollars.
De façon générale cette journée reste exceptionnellement complexe avec des chutes d’ampleurs. Le Solana perdait 10,73% quand le Polkadot perdait 9,33%. Les marchés semblent entrer dans une nouvelle phase de pessimisme pour de nouvelles séances extrêmement complexes.
Qu’attendre du Bitcoin et des marchés ?
Si le marché des cryptomonnaies s’enfonce dans le rouge, on notera tout de même quelques points d’espérance. En effet les cryptomonnaies à la différence d’autres marchés jouissent de conditions particulières, notamment avec une forte volatilité et des capitalisations fortes sur des stablecoins.
En ressortent donc de nombreuses possibilités sur le moyen et long terme, notamment du côté du Bitcoin que le consensus analytique voit toujours au-delà des 100 000 dollars d’ici l’année prochaine.
Bien sûr il faudra prendre son mal en patience et atteindre, non seulement des marchés en meilleure posture, mais aussi un Bitcoin qui casse la barrière des 60 000 dollars du coin. Si les niveaux affichés pour les différents altcoins restent hauts, rien n’indique à court terme d’un nouveau biais haussier.
Cet automne et plus loin cet hiver pourraient tout de même manifester un nouveau élan record, un record qui pourrait amener le marché dans son ensemble vers de nouvelles flambées. Pour l’heure le pessimisme et la passivité seront les mots d’ordre, d’autant plus que les volumes restent encore très faibles.
