C’est la chute de ce vendredi, celle à retenir et qui rend le mieux justice à la conjoncture économique sur les marchés : Airbus s’effondre de presque 5% sur le CAC 40. Une Bourse de Paris qui elle aussi est victime d’un retour en force du Covid sur le devant de la scène.
Véolia leader sur le CAC 40
La première bonne nouvelle de cette journée reste la bonne performance de Veolia : le groupe énergétique prend le lead sur le CAC 40 et s’impose avec plus de 1,89% de pris, fort.
Derrière les hausses sont faibles et peu nombreuses, si Total arrive à accrocher le 1% de hausse, on ne retrouvera guère d’envolées significatives. Néanmoins de nombreux groupes progressent de belle manière ce vendredi.
Danone prend plus de 0,96%, Crédit Agricole se refait avec plus de 0,87% de pris, derrière Orange aussi progresse. Le groupe francilien prend plus de 0,82%. Même son de cloche pour Sanofi qui souffle un peu avec plus de 0,82% de pris.
Derrière on retrouvera Legrand qui avance encore avec 0,64%, Société Générale qui gagne plus de 0,57% et Saint-Gobain qui prend 0,17%.
Ce sera tout les pour les hausses de ce vendredi. Une fin de semaine plutôt habituelle pour le CAC 40 qui n’arrive pas à conclure ses quelques belles performances de ce début de mars.
Quoi qu’il en soit vendredi la Bourse de Paris retombait sous les 5.800 points avec une clôture à 5.782,65 points, Airbus impactait le CAC de mauvaise manière en fin de séance le CAC.
Airbus dernier du CAC
Eh oui les groupes aéronautiques souffrent ces temps-ci. Airbus n’échappe pas à la règle avec plus de 4,87% de perdu et une dernière place sur le CAC 40. La vraie mauvaise performance de cette fin de semaine.
Et derrière on retrouvera de beaux leaders qui s’effondraient littéralement. Si Thalès perdait 4,22% ! C’est bien STMicroelectronics qui attirait l’attention avec 2,84% de perdus, et des volumes quasiment record sur la séance.
Niveau chute on trouvait pléthore de valeurs au-delà du pour cent de perte, on citera : Vinci qui lâchait 2,63% Safran qui perdait 2,18% ou encore LVMH qui perdait plus de 2%.
Un vendredi très complexe qui démontre encore une fois à quel point les marchés sont fébriles et pourraient à nouveau s’offrir une tendance à la baisse globale si la consommation et la pandémie ne donnent pas de meilleurs signes.
